Les Trophées Optimistes d’EcoRéseau Business, en partenariat avec le Printemps de l’Optimisme et avec le soutien d’Audencia Business School, ont été décernés pour la première fois le 18 mars 2016 au Conseil Economique, Social & Environnemental. En présence de M. Emmanuel Macron, deux lauréats apparus dans les rubriques phares du journal et correspondant à cette idée ont été récompensés.
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Deux prix qui ont fait du bruit
L’Electron Libre Guillaume Rolland et Looten pour la Culture du Rebond ont parfaitement incarné l’esprit d’EcoRéseau Business et du Printemps de l’Optimisme. Petit topo.
Le 18 mars 2016, au Conseil économique, social et environnemental, EcoRéseau Business a remis ses trophées Electron Libre et Culture du Rebond en présence de M. Emmanuel Macron, ministre de l’Economie, alors que le Printemps de l’Optimisme organisé par Thierry Saussez rassemblait une myriade d’experts, économistes, philosophes… vantant l’optimisme d’action comme un atout pour la santé des personnes, entreprises et nations. Le Ministre a insisté sur cette notion qui permet aujourd’hui à la France d’être l’un des pays qui voit le plus de start-up émerger, qui excelle dans la technologie ou encore dans l’intelligence artificielle. Pourtant, le pays est confronté à un « poison terrible », issu de notre culture : une obsession à vivre dans le passé, dans la nostalgie d’un passé qui n’a pas fonctionné, et à essayer de comprendre la raison de ses échecs. « Nous ne construirons pas l’Europe avec l’optimisme si l’on continue à regarder le passé. L’optimisme c’est cette volonté de regarder ce qui va advenir et de vouloir y jouer un rôle résolu », a-t-il indiqué, stigmatisant aussi ce rejet complet de l’échec auquel le monde entrepreneurial est confronté en France. « Il faut valoriser ceux qui ont tenté, qu’ils aient réussi ou non », a-t-il affirmé, faisant de fait chorus avec la philosophie du journal depuis sa création. Les deux lauréats, apparus dans deux rubriques phares, répondent à cette double idée : l’Electron Libre met chaque mois à l’honneur un personnage qui entreprend sa vie de manière atypique, bouge les lignes par son imagination ou sa volonté. La Culture du Rebond décortique les échecs des entrepreneurs pour en connaître les causes profondes, et mettre la lumière sur leur manière de faire renaître leur société, d’en recréer une ou de s’orienter vers une autre expérience en s’étant enrichi d’un vécu. Devant le succès rencontré, EcoRéseau Business compte bien réitérer cette cérémonie le 21 mai, lors du Printemps de l’Optimisme de Nice. Et bien d’autres encore à venir…
Les lauréats de l’édition Nationale 2016
Les lauréats de l’édition Nationale 2016 sont :
- Catégorie Electron Libre : Monsieur Guillaume Rolland
Retrouvez l’interview de Guillaume Rolland parue dans EcoRéseau n°29 en cliquant ici.
- Catégorie Culture du Rebond : Société Looten
Retrouvez le portrait de la société Looten paru dans EcoRéseau n°29 en cliquant ici.
La catégorie « Electron Libre »
- Rubrique qui met chaque mois à l’honneur une personne qui entreprend. Celle-ci ne crée pas forcément une société, mais entreprend sa vie, de manière atypique : soit son parcours est singulier, soit le secteur dans lequel elle évolue est étonnant, soit encore la manière avec laquelle elle a eu son idée est unique. Nous recherchons des personnages avant tout, des gens qui bougent les lignes par leur imagination ou leur volonté.
Retrouvez les nominés 2016 dans la catégorie « Electron Libre » en cliquant ici.
La catégorie “Culture du Rebond”
- Rubrique qui cherche à décortiquer les échecs des entrepreneurs pour en connaître les causes classiques et profondes, et pour voir la manière avec laquelle l’analyse peut être utilisée par la suite pour recréer une société, la faire repartir ou s’orienter vers une autre expérience. Il s’agit de percevoir le revers d’une autre manière, de le concevoir comme une étape vers des succès futurs et non une marque honteuse et indélébile dans un parcours, comme il est encore malheureusement trop considéré en France.
Retrouvez les nominés 2016 dans la catégorie « Culture du Rebond » en cliquant ici.
Le jury
- Philippe Bloch, conférencier et chroniqueur
- Benoît Cornu, Directeur de la Communication de PMU
- Frank Dormont, Directeur de la communication d’Audencia Business School
- David Layani, Président directeur général de Onepoint
- Stéphane Layani, Président directeur général de Rungis marché international
- Jean-Baptiste Leprince, Fondateur & directeur de la publication d’EcoRéseau Business
- Jean-Pierre Letartre, Président d’EY France
- Florence Paris, Directrice de la communication et de la Marque de Sodexo
- Thierry Saussez, Conseil en communication, créateur du Printemps de l’Optimisme
- Julien Tarby, Rédacteur en chef d’EcoRéseau Business
- Christine Tendel, Directrice de la Communication du Conseil économique, social et environnemental
- Laurent Turpault, Directeur des Affaires publiques et de la Communication de Coca-Cola France
Partenaire des Trophées Optimistes : Audencia Business School
Audencia forme et accompagne des créateurs de valeur innovants et responsables. En co-création avec ses parties prenantes, elle produit et diffuse des connaissances conçues pour faire évoluer l’enseignement et inspirer de nouvelles pratiques en entreprise. Dans sa mission auprès des jeunes, des professionnels et de la société, l’optimisme se trouve au cœur du développement de l’école pour construire le monde de demain, envisagé responsable. C’est ce qu’exprime la baseline de l’école et sa mobilisation au quotidien : former des leaders innovants pour un monde responsable. Co-créé par le personnel d’Audencia, ses étudiants, ses diplômés, ses entreprises et universités partenaires, le plan stratégique #Audencia2020 définit l’évolution et les axes de développement de l’école pour les cinq années à venir. Ce nouveau plan est celui d’un rayonnement international qui s’appuie sur les trois axes d’expertise de l’Ecole : l’innovation, la Responsabilité Sociale des Entreprises (RSE) et la Finance. Il capitalise plus que jamais sur son alliance stratégique avec Centrale Nantes (ECN) et l’Ecole Nationale Supérieure d’Architecture de Nantes (ensa).